Courir à travers les rues parisiennes, disons-le, le tenter Ô.. sur deux béquilles à mourir au vent de l’hiver sous les billes de pluie, tombant sans hantises booléennes, agite en corps de pensées autour de Vous mon cher frère, ce Dix janvier, Ô..de Tout !
De noir s’est vêtu ce triste Trois Janvier pour raison méconnue dite aérienne ; parcourir au vent... des lieues égyptiennes à contempler merveilles, s’en dévier tréfonds de Mer Rouge, splendeur de la Terre, où y mourir est tragédie délétère
Un désir, fut au matin de parcourir Tremblantes lieues, grisant la blanche habitude de ce Dix janvier dégrisant lassitude, de quelques pas en béquilles, et sortir Vous rendre visite Ô.. sous de fous regards à ces statues, Vous protégeant des busards
Las, la pluie arrogante de perle verve, ![]() fit taire sotte envie d’un frère abimé, autant de sa blessure autant de ce rêve idiot à croire s'exhaler l’arôme, face au nom gravé d’un gris temps élimé, face au demain esseulé sous pâle dôme
![]() Dix janvier, la course au vent parnassien, au Cimetière, s’achevant d'instant morne Auprès de Mère, aimant ce parisien, comme d’Être aux petits soins de l’autrefois, où Tous profitions de son amour bicorne reposant la peine en son cœur, d'une foi… ![]() Oli ©…Course au Vent © (P)- Francis Jr (11) 10/01 Y4 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire”Série10J*19 |