Mon Dieu, deux fois neuf de pensées versées au Ciel sans contre-façon parfois de ce goût de fiel d’autant en ce temps s'écoulant gris où je traîne sur une jambe tel un flamand rose en peine
Mon frère qui tant manquez à ce fameux Ciel ce sept mai deux mille deux superficiel avez sans doute constaté ce malin spam où votre frère a goûté au gris macadam
Ô.. qu’allait-il faire sur ce Pont d’Austerlitz sur le chemin du travail sans écouter Liszt à traverser au feu du Quai de La Rapée la Morgue derrière lui de l”ignorée”
Il était heureux ce frère d’une nouvelle flâneuse amie revenait de mots ribambelle contant l’instant à me deviner poésie ne soupçonnant le jour de honte cramoisie
En fin de compte, me rappelle de ces mots debout promenant pied gauche devenu sot désirant prendre le chemin à sa cadence à suivre Taxi hors des clous de l’indécence
Ces quelques mots furent livrés pour Vous et Père ![]() bafouant du regard Morgue et son air de guerre comme revanchard de cette absence cruelle portable à la main comme collé à l’oreille
La tension à six gonflant d’étonnement pompiers incrédules face à l’événement, ce portable fut ce placebo m’éveillant comme limbes auprès de Vous se voyageant
Quoique sous morphine, limbes aux jours... s’éveillent quelques heures désordonnées comme un vrai besoin de vivre nos souvenirs, et ces sots demain où vous m’accompagnez faute au latent sommeil !
![]() Mon Dieu, dix-huit ans de pensées vaines au Ciel ce que le temps gris passe inexorablement à me rappeler de Vous quelques instants de miel comme un remède oubliant cet événement… ![]() Oli ©…Deux fois Neuf © (P)- Francis Jr (12) 10/01 Z3 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire”-Série10J*18 |