Matin : “il est” Parfum qui s’absente ; La nuit : “vit” blanche Voix qui m’enchante ; Que n’ai-je pu : Vous sauver mon Frère De tourments délivrés par l’Enfer ! Ô.. Toi l’humain, en ce jour de juin Ayant décidé du Sort d’un frère, Te crois-tu à l’abri sur cette Terre ? Ne crains-tu pas jugement de Fin ? Ô.. Toi l’humain, Juge des “trois jours” Tu as osé le dénigrer : Seul Il se noya de ses Amours, Fier des souvenirs et de leur feule. Ô.. Toi l’humain, gradé sans respect Combien as-tu meurtri en besace ? Juste par plaisir Ô.. d’un Rejet ; Le Tien qui chaque soir vous tracasse. Ô.. Toi l’humain, l’Erreur militaire Croyant légitim’ puisque gradé Ignorant jeunesse réfractaire Jusques à tuer fragilité. Ô.. Toi l’humain, faux croyant de Vie ; “Point Dieu Tu n’es” : Ô.. l’as tu pensé Au moment du choix de l’exuvie Pour ce frère si doux, si sensé. Ô.. Toi l’humain, plongé dans l’ennui Scrutant bidasses et origines Jusques à procurer de l’Honni ; Tu déshabilles la Vie divine. Ô.. Toi l’humain, haïssant pensée, Se délectant des jours d’obédiance Où tu parais Chef de l’inconscience ; Tu as brisé ce jour d’offensée.
Ô.. Toi l’humain, vois ses fiers parents Mourir du chagrin Ô.. de Votre Honte Décidant du sort pour différends Sur l’intelligence : “pas votre Monde” ! Ô.. Toi l’humain, l’ayant envoyé En Rhénanie com’ pour le punir Et le fendre d’un cruel souvenir ; Sois en sûr, l’Epée t’est avoyée ! Ô.. Toi l’humain, tu t’es tant moqué De sa Maman déportée un jour En vil Pays d’Oder sans amour ; Honte à ta vie, celle d’un toqué. Ô.. Toi l’humain, brisé est mon cœur Celui d’un frère cherchant l’Ami Matin et nuit où se meurt Bonheur ; Cachez-vous du regard ennemi. Ô.. Vous l’horreur, j’ai changé d’orbite Ce “Dix Janvier” fixant le Cercueil ; Qu’importe ma vie : parfum de deuil Me fait haïr “your” vie de Termite Ô.. Vous noirceur, que faisiez-vous donc Ce jour où Terre recouvra mon frère ? Sans doute feigniez-vous l’amour : onc ! Pensez ! Vous aimez tant vous distraire. Ô.. Vous cher idiot, si Dieu est, lors Selon Tables, l’Enfer vous sera Ce Livre de chevet, des remords ; Sans Dieu : “mauvais sort” se servira !
![]() Ô.. Vous l’aigri, nul Pardon fuira De mes limbes : “Êtes lâcheté” Derrière des galons sans clarté ! ; Larme sans vie me fréquentera.
Ô.. Vous “la chose”! je vous dégrade Las ! n’ai pu l’en sauver, mon doux Frère; Nuit : seul rêve à deux sera La Terre. ![]() Oli ©…Ô Toi l'Humain © (P)- Francis Jr (9) 10/04 P8 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire” ; https://trefondsdelimbes-over.blog.com |