Matin : “il est” Parfum qui s’absente ; Ô.. Toi l’humain, en ce jour de juin Ô.. Toi l’humain, Juge des “trois jours” Ô.. Toi l’humain, gradé sans respect Ô.. Toi l’humain, l’Erreur militaire Ô.. Toi l’humain, faux croyant de Vie ; Ô.. Toi l’humain, plongé dans l’ennui
Ô.. Toi l’humain, haïssant pensée, Ô.. Toi l’humain, vois ses fiers parents ![]()
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Ô.. Toi l’humain, l’ayant envoyé Ô.. Toi l’humain, tu t’es tant moqué Ô.. Toi l’humain, brisé est mon cœur Ô.. Vous l’horreur, j’ai changé d’orbite Ô.. Vous noirceur, que faisiez-vous donc Ô.. Vous cher idiot, si Dieu est, lors Ô.. Vous l’aigri, nul Pardon fuira Ô.. Vous “la chose”! je vous dégrade ![]() Oli©Ô.. Toi l’Humain … « Ecrit ya des années, deux mois après la mise en terre de Francis mon frère, |
Derrière tout uniforme se cache un homme avec des valeurs et des principes et devant certains cas, les valeurs et les principes passent par dessus ou pas…. si derrière l’homme il n’y à rien, cela donne des évènements pas très beaux. Bien écrit et bien retranscrit qui donne une dimension à l’être humain qui ne faut pas oublier. Il peut-être capable du pire et oh combien du meilleur. Merci Olivier,
Merveilleux poème…
Quel témoignage poignant, où la tendresse, l’amour et le chagrin se côtoient
Cette peine immense de la disparition brutale d’un frère, d’un fils, provoquée “bêtement”…
et ce récit sont tellement émouvants. Merci Olivier pour ce souvenir partagé