C'est d'un soupir que j'attire draps au menton ![]() Désordonnés ils sont d'une nuit agitée Quoique plaisir fut de revoir la bien-aimée L'espace de Vous oublier d'un son Pleurant la détresse fort détestée
La nuit fut courte de sa belle essence Je ne me lèverai à l'aube du jardin Un dimanche jouant la complaisance Du premier mai tombé, loin de toute quiescence Que deux corps s'offrent d'un monde à câlins
Le jardin d'Yze se réveille à peine De votre absence au fil des ans Ô s'égrenant Même les ombres perdent votre haleine Com’ formes des arbres se délaissant A Nous estamper de leur ressemblance... en scène
Souvenir de frasques au Macao Si légères soient-elles en la soirée Com' ton vélo glissant bord de Creuse en apnée Manquent à ce regard...cherchant là-haut Du sachant qu'il ne Vous verra sur son tableau
![]() C'est d'un soupir que je me relève à l'orée Du dimanche appelant la morte existence D'anciennes et futures années... à Peine ; Qu'importe : il subsiste cette Aura... com' cadeau ![]() Oli ©…D'un Soupir... ©(P)-01/05…Mon Frère((10,12) P8 du livre « …Itinéraire d’un Calvaire” -Série Apostrophe
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