Comme si la douleur ne cessait à se peindre De ses drames soudains sonnant fragilité De l'Être face au Temps d'un jamais à enfreindre La prudence au sommeil... d'autant soleil d'Eté
Il me plait à penser que Vous l'avez reçu Ce petit Innocent commençant une Vie... En ce blanc Royaume âcre où limbes... sans reçu Errent d'une lenteur... comme pour leur survie
Transis tous deux fûmes au retour de Posay ; Comme une impression de l'avoir détournée De l'Itinéraire en voie qui se courtisait ; À Demeure... l'ai vue s'en aller... dévoilée
La Demeure d'Yze repose la complainte Que l'on ressent Mon Frère au vent de la douceur S'envolant en les airs... Nous entourant l'empreinte D'un Itinéraire... agrémenté de senteurs
Vingt longs mois de ces vents souffrant limbes... au Temps Point de pleurs ne se voient..! S'écoule une rivière Me reliant à Vous... parsemée de moments Et ses fleurs... devinant vestiges en rizière
Le manque du Revoir un Cher Être... à l'aurore Se voile aux vents... d'un Itinéraire... à Demeure
Oli ©…Itinéraire à Demeure © (P)- Francis Jr (12) (Diva ) 20/08 P6 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire”-Série Apostrophe
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