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Ni le temps qui passe, ni ces limbes du Temps 
Me lassent... à penser à votre voix chantant
Quelques lames... d'heures parcourant somme d'ombres
Les jours me conviant à vivre de conseils
Les nuits me baladant au plaisir de sommeils

Large est ce souvenir du désir d'écouter
Ce timbre com' vivant et non sans le guetter
Les beaux jours et leurs nuits délaissant l'âme sombre
Se déroulant au ciel d'un vent Parisien
Se découvrant en mer Rochelaise et d'un bien

Contre l'oubli la Vie se recrée fil du songe
Songe de Vous au Temps où je Vous observais
Conquérir un quidam que je ne connaissais
L'éblouir tel Sage guidant de bon usage

C'est avec malice que je Vous imagine
Plaire dès la venue de votre Être... un cher soir
Du Quinze Janvier... Jour décorant leur miroir
A sept mois... démarquant le Temps et leur Racine
Rue du Rempart... vaincre le menu du chétif

De parents professeurs à dureté de mise
Avez su conquérir Livres et leurs desseins
Du besoin de vivre Théorique en essaim
Jusques à rejoindre... Bien-aimée créatrice...
Ivresse aux limbes... j'en suis... sachez-le... natif

Oli ©…Ivresse aux Limbes

© (P)-     Mon Père (12)  10/01  X3

 

 

Tag(s) : #Poèmes_Série_Créateurs, #Poèmes_12syllabes, #Poèmes_Années_X, #Poèmes_Sizains++
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