C ‘est l’heure nauséabonde à Vous dire adieu de ces sentiments et géhennes inutiles d’un jamais à rallumer doucement ce feu d’images aux heures devenues bien futiles C ‘est l’heure d’effacer au soir ce souvenir pesant aux matins saupoudrés de blanches...
Lire la suite...Tant de Temps - Delloly
T ant de temps, et trop me dois-je de préciser depuis ce jour, j’ai tant oublié de compter comme les heures creuses s’écoulent de cesse tel un manque d’en comprendre sombre l’ivresse non de l’absence rebutante mais de l’heure ne s’épuisant jamais des...
Lire la suite....Vingt-Huit Jours - Delloly
V ingt-Huit jours de solitude grise et détresse vingt-huit jours revêtus simplement de l’angoisse pourtant jamais je le sais Vous ne reviendrez parmi Nous quoique en l’âme le souhaiterais V ingt-huit jours et toujours là-bas vous sommeillez en blanche...
Lire la suite...Journée Fragile - Delloly
J ournée grise de ses peurs et de tant de pleurs journée pauvre de ses joies s'abandonnant l'heure journée où les âmes tristes tombent, s’ignorent journée où les regrets rebelles, lâches, gagnent ; les pâtes de velours se laissent caresser même par des...
Lire la suite...Déjà le Trente-et-un - Delloly
D éjà le Trente-et-un…. me souviens de nos jeux ceux du Soleil d’Austerlitz sous l’air de Carmen D’une victoire aérienne à figurines ; nous étions tels trois frères marionnettistes ; ...Quelques images à la télévision ...Opéra de Bizet te revoici tit...
Lire la suite...Te rappelles-tu ? - Delloly
T e rappelles-tu du six décembre Un Jour froid tombant parisien D’un automne se fanant d’un Rien ; D’un hiver s’annonçant hélas Sombre ; Ô.. je me souviens de la blessure Ne pouvant te héler à Raspail, Ce dernier soir d’une ombre fuyant Près du jardin...
Lire la suite...Ô m'entendez-Vous - Delloly
S oupir, de vaine nonchalance Ô..m’entendez-vous vautré loin du soleil sous la pierre tombale Vous souvenez-vous des rendez-vous à ce Nous pleurant au pied du Ciel Vous recherchant de l’âme P ère et Mère, de leurs doux cris silencieux, pleurent des larmes...
Lire la suite...Mon Ami, mon Frère - Delloly
F rancis mon ami, mon frère vêtu de l’âme triste de rue en rue j’erre à la recherche d’un site se déshabillant de souvenirs plaisant au regard sans les soupirs F rancis mon frère, mon ami la vie parisienne est triste Toi qui l’adorait cette vie à Paris...
Lire la suite...Au Firmament - Delloly
S oupir ! déjà cinq ans Père s’en est allé ne Vous demanderais si vous l’avez croisé d’outre-tombe et d’ailleurs, peu m’importe il est tard la convenance est morte et vaine du hasard ; -comment Vous le dire au firmament de pensée Tous Deux êtes partis...
Lire la suite...La Passerelle du 1er Mai -Delloly
V oici déjà au vent une grise semaine que point d’écrit subodoré s’est tâché d’encre sur ce recueil au soupir nonchalant de traîne comme un besoin de le laisser là, à son ancre U n premier mai pauvre de la Gent et liesse un premier mai parisien jouant...
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