Douceur, que n’ai-je fait de Vous garder De ville en ville sous le souffle gris Celui des ébats s’enfuyant épris En vaines contrées, et s’y musarder
Douceur, ai goûté, les cheveux au vent, Plaisirs incertains de l’imaginé Dépassant ce Temps sur un frôlement Des Amants d’avant... notre raffiné
Douceur, ai perçu ce désir du beau Un soir fatigué du jour épuisant Quémandant... l’osé... d’un sourire allant Délaissant pensées, de l’Âme en fardeau
Douceur, ai senti votre odeur en fuite Sous la frêle pluie d’un pleur d’autrefois Envoutant l’Âme... d’ivresse inconduite ; -Crépuscule au jour observé parfois
Douceur, ai pleuré ce parfum aux lèvres Débordant ces joues livrées au regard Troublant la danse caressant nos fièvres Ô.. joue contre joue... sur un slow hagard
Ô. que n’ai-je fait de Vous essaimer Jusques à l’aurore au bord du transpire ; Vous aviez quitté jusques au sourire Cet Art en chemin : -La douceur d’Aimer !
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