S ouvent nous nous promenions d’un sommeil
Chemin du Razal gaiement au soleil
Sous le chant strident de vaine cigale
Et jappement de labris l’air jovial
Ô se dénommant Roederer et Crystal
D ‘une simple balade cévenole
au coeur de la belle Séranne d’or
sous l’œil lointain d’un Pic d’Anjeau, qui dort,
en passant très adroits le Guet du Razal,
l’excursion respirait le madrigal
L abris de naissance et de gente essence,
Fils et mère, jouaient de l’innocence
Nos sensibles nerfs Ô furetant d’aisance
S’échappant dans la brousse cévenole
Vastes instants d’une Epoque en parabole
S ur un rocher, promenant la patience
D’un regard régalant l’évanescence
Attendions sereins en humant les senteurs
De peu de mots rompant l’arborescence
Cévenole et de suaves bonheurs
R oederer, coquin petit chenapan
Prenait le plaisir d’un jappe à courir
Revenant toujours tel beau courtisan
Auprès de la Dame aimant le chérir…
Oli© …Chemin du Razal
©(P)– 28/09 ….(10, 11) Suba Y9