Je t’ai attendu cette nuit si longue en vain point mes rêves troublés se libéraient du vin partagé avec Amis, Armand, comme ça non pour lâcher, simplement un soir comme ça mais j’avoue simplement que Vous m’avez manqué ; le réveil aux sept ne fut guère apprécié
De longue remarque auprès du Père Rémy sur la Mort et de ce qui peut-être s'ensuit sur l’angoisse et Ô.. de ses revêches remords Sur la vie et religion et de ses torts de Tout et de Rien de Toi simplement mon frère avec ce cœur à l’écoute au-delà de Terre de mes mots gris et du point de vue relevé soulevant la question à se demander… ; -ému il fut Ô.. m’assurant avoir connu trop la Mort pour ne pas penser à l’inconnu…
Je rentre d’un pas trop léger sous un ciel lourd et l’impression de vivre un blanc cauchemar ; Ô.. plus mes pas se font, plus ils deviennent lourds me rapprochant du lieu où les pleurs ne se meurent ; que vais-je dire au jour aux beaux Êtres livides me rappelant la Mort d’un décembre perfide
Parfois la nuit me semble étrange... être la Vie loin du jour sociétal opprimant l’envie ; je me rapproche du Port voilé de l’Angoisse où s’ancrent des images d’odieux trépasse ; d’un jamais la Mort n’existera plus ici au cœur funambule poussant simplement... cri Oli ©…Cette Nuit, simplement © (P)- Francis Jr(12) 20/01 P5 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire” -Série Epilogue
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