Comme au matin où Paris Ô.. balbutiait sous baisers d’encore au lit... de Vous, je rêvais
…Cette lettre que je Vous ré-écris du lit où bien de fous interdits se sont envolés de leurs sens inhibés et jeux inavoués, oui… cette lettre à belle aurore cardamine chuchotée posément durant l’heure divine du tremblement de cils, charmant la folle absence, se devinant de ton zeste d’insouciance, tu dois la déshabiller de ce qu’elle dit…. Oli ©…à l’Aurore Cardamine ©(P)28/02 … London (12) Z2 |
…Cette lettre que je Vous ré-écris du lit de quelques mots s’étirant de nuit difficile de ces draps remués bout du monde impossible à rejoindre la tiédeur d'un corps Albion, oui… cette lettre à cette aurore cardamine de ses quatre pages tombées de bout de mine comme, Laura, des quatre ailes du papillon, tu dois la déshabiller de ce qu’elle dit….
…Cette lettre que je Vous ré-écris du lit je l’imagine se plaire durant lecture des lèvres posées Ô.. récitant la texture soutenue d’écailles pers rendant fou ce cœur, oui… cette lettre même au sombre crépuscule se souvenant de trop des baisers à bascule et de Nous dansant Cour du Louvre à belle heur, tu dois la déshabiller de ce qu’elle dit…
Comme cette lettre où se posa le mot tendre, comme au soir où se délivra le tendre amour de l’attente d’un corps se désolant au jour témoin de l’absence Ô.. te réclamant douceur, oui… cette lettre à l’aurore de sa pudeur s’envolant, Laura, de voyelles d’une plume rappelant triste envol par les Airs de coutume, tu dois l’habiller de tes mots couleur de l’ambre….
Comme au matin où Paris n’aurait d’existence là-bas, même d’un jour, résonne ma présence
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