Puisque cette âme il ne la perçoit de son parfum naissant dès l’aurore comme autrefois... lisière du bois …l’imagine danser l’air narquois l’invitant à la suivre... sonore de son vent semant le doute au bois Puisqu’il vaque à ce bois s’endormant sans la dérobe au dernier moment il vous suit de l’âme Ô.. curieuse loin du livide de l’ombre heureuse à mourir ce tremblement prenant d’une absence Ô.. d’un Vous ressemblant Puisqu’il avance auprès de douleurs en les négligeant com’ de leurs peurs promenant le regard d’un ajour délaissant souvenirs de torpeurs il Vous suit de la joie... et l’amour de raison frissonnant les senteurs Puisque cette âme il ne la perçoit de son décor comme de son corps il Vous embrasse de mots d’accord les yeux clos à Édimbourg d’encor les mains glissant long du corps au bois Temps de s’endormir comme à Chambord…. Oli©…Lisière du Bois du livre « …Les Fleurs d’Oli “
|