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Puisque cette âme il ne la perçoit

de son parfum naissant dès l’aurore

comme autrefois... lisière du bois

…l’imagine danser l’air narquois

l’invitant à la suivre... sonore

de son vent semant le doute au bois

Puisqu’il vaque à ce bois s’endormant

sans la dérobe au dernier moment

il vous suit de l’âme Ô.. curieuse

loin du livide de l’ombre heureuse

à mourir ce tremblement prenant

d’une absence Ô.. d’un Vous ressemblant

Puisqu’il avance auprès de douleurs

en les négligeant com’ de leurs peurs

promenant le regard d’un ajour

délaissant souvenirs de torpeurs

il Vous suit de la joie... et l’amour

de raison frissonnant les senteurs

Puisque cette âme il ne la perçoit

de son décor comme de son corps

il Vous embrasse de mots d’accord

les yeux clos à Édimbourg d’encor

les mains glissant long du corps au bois

Temps de s’endormir comme à Chambord….

Oli©…Lisière du Bois
©(P)- 20/09 …. à Laura.  (9) Z4

du livre « …Les Fleurs d’Oli “

 

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