Qu’il semble fort lourd ce mercredi seul
Décembre aux matins s’étire en linceul Comme un océan se brisant aux calmes Recherchant vagues sans heurter les âmes Aux soirs Dame Eiffel sous le froid de brumes
Endort l’horizon de sa robe brune Comme écrasant là, l’Espoir de Vous voir Et Vous étendre bras… et Vous y choir Qu’il semble fort lourd ce Dix-neuf tranquille Rues et boulevards n’ont changé de ville Depuis cette absence au matin d’un Six Où la Vie surprit… Monde d’endormis La rue de Sèvres ne se conçoit plus Puisque, LA du jour, où Drame conçut A surprendre Vies au sein de leurs rêves Défaisant l’Amour… là-bas, bord de grèves Et pourtant, rôles s’y jouent… sans y croire
Bannissant celui, celle, sans la moire Cachant sombre peine, prêtant la voix Unissant la Famille à l’Absent-Roi Qu’il semble innervant ce Dix-neuf maudit De pensées chuchotant que Nuit… à jeudi Se déambuleront souvenirs de Vie Comme il n’était pas… ce Six et sa lie Oli ©…Qu'Il semble © (P)- Francis Jr (12) 19déc P4 (voyage d’un frère en limbes)
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