Heures se passent sur l'omniprésence infime Ne gênant point les vicissitudes à rime Métro-boulot-dodo sans que vous débarquiez De l'indécence d'une mort... où vous dormez ; Oh votre présence ne me gène pas... l'ombre D'une image quelle qu'elle soit même... sombre C'est comme une drogue rassurant... vague Vie Des doutes et croyances amenant l'envie A parler de Vous... fort de Nous... d'un autrefois ; Com' pour amenuiser la douleur... qui se doit A Tous... Vous ayant croisé... Vie parisienne Voire... en soirée... ou à l'ombre de persienne ; En mes limbes m'assurant bien... fraicheur d'un Temps Donnant raison... mon Frère.... à vivre les moments Lendemains sans s'abroger du jadis d'Essence Où fêtions votre anniversaire... en confiance Oli ©…Dix Avril, Heures se passent © (P)- Francis Jr (12,) 10/04 P6 (voyage d’un frère en limbes) du livre « …Itinéraire d’un Calvaire”-Série10A*02 |