O nze heures sonnent Rue de Beaune le parquet de votre absence résonne craquant à chaque pas perdu comme ne sachant plus où aller comme hésitant à demeurer encore une fois, où-es-tu ? P aris qui pleure, je me demande... Paris qui m'ennuie, je Vous attends......
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...Jardin de Vous - Delloly
Ô comment Vous le dire à pâle nuit sans lune Il est un jardin pers brisant un vent sur dune Volant un sable ambre... sur un horizon rouge Brûlant langueur à Vous entendre... encor au songe S ilencieux de leurs pupilles d'une larme N'osant caresser claire...
Lire la suite...Géant en son Cœur - Delloly
D éjà tant de feuilles mortes s'en sont allées Décorer les sols et ruisseaux et contre-allées Comme il se doit de raison du cycle et nature Comme il se dit d'attendre années poussant l'usure Délaissant souvenirs certains d'oublis pour vivre ; Pourtant...
Lire la suiteÔ Séjour de Vie - Delloly
01 – J e Vous ai maudit… du CŒUR des humains Ô Vous cher Monsieur faiseur d’incertains du séjour banni privant le regard Ô d’une femme à mourir d’un Art 02 – J e Vous ai maudit… dès le premier jour jouant du serment réprimant l’Amour Ô que nous donnions...
Lire la suite...Ô.. Toi ! l'Humain - Delloly
M atin : “il est” Parfum qui s’absente ; La nuit : “vit” blanche Voix qui m’enchante ; Que n’ai-je pu : Vous sauver mon Frère De tourments délivrés par l’Enfer ! Ô .. Toi l’humain, en ce jour de juin Ayant décidé du Sort d’un frère, Te crois-tu à l’abri...
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